ArcelorMittal : 18 000 emplois menacés, malgré 392 millions d’euros d’aides de l’État depuis 2013

« En réalité, on ne fait pas assez d’argent pour l’actionnaire, donc on nous éjecte » déclare Clément Thierry, salarié d’Arcelor Mittal à Denain, l’un des deux sites dont le groupe a annoncé la fermeture en France. Mobilisés et en grève, les salariés expriment leur colère face à un groupe gavé d’argent public dont la direction déroule « les salades habituelles : baisse de la demande des clients, concurrence déloyale de la Chine et d’autres pays hors Union européenne, absence totale de soutien de l’Union européenne… »

Lire l’article du journal l’Insoumission